lundi 17 juillet 2017

Mittlach, 17 juillet 1917 – Jean à sa mère

17/7/17
            Maman chérie 

            Ne t’étonnes pas si je t’écris un peu irrégulièrement. Je mène une vie assez absorbante. En tout cas ne t’inquiète pas sur mon sort. Il est aussi tranquille et aussi sur que dans n’importe quel cantonnement de repos. Temperature exquise. Tes lettres de la Bastide ne sont pas très enthousiastes, j’espère pourtant que Na t’empêche de t’ennuyer et de te sentir seul, et que le temps est clément.